Atiligan prend le chemin de Fondcombre

Atiligan venait de quitter Lothlorien ainsi que Legolas qui était lui aussi présent dans les verts paturages.

Atiligan portait un arc sur son dos ainsi qu'une longue épée a sa main. Un épée d'homme aussi lourde qu'une machette. Les long cheveux de Atiligan volait au vent tendit que celui-ci courait aussi léger qu'un elfe. Il avait acquit cette dextérité de sa mère adoptive Nurheniel qui elle était une elfe pure. Elle l'avait recueillie alors qu'il n'avait que 5 ans a peine. Enfin recueillie était un grand mot. Elle avait été celle qui avait causer la perte de son père. Elle lui avait tout avoué et pourtant, il l'aimait du plus profond de son coeur.

Un petit bruit a peine audible ce fit entendre, Atiligan s'arrêta net. Il écouta du mieux que ses oreilles humaines le pouvait. Après quelques instants, il repartit n'aiyant rien entendue de la suite.

Dans ces moments où les elfes désirent calme et en même temps l'exiattion à l'approche de la forêt au toucher de l'arbre à la senteur de l'écorce, à la douceur de l'herbe mouillée, à la francheur et la clarté du bruissement de feuilles.
Un bandeau sur les yeux, les pieds nus, les habits simples qu'elle avait l'habitude de prendre pour une simple excursion, pour un simple plaisir.
Son pantalon gris, fin et résistant, sa tunique clair avec un veston bleu par dessus. S'ils lui donnaient un petit côté sauvage ils étaient beaux, et on reconnaissait la marque des elfes.
Un bandeau marron un peu usé par l'âge, cachait ses yeux, et son fin visage était totalement dépourvu d'expressions, comme si celles-ci n'aurait été visibles par son regard disparu.

Elle passa par des chemins qui lui étaient connus, et par sa seule mémoire elle atteignit l'un d'eux, un un peu plus large. Elle allait en prolongeant sa promenade quand elle s'imobilisa. Sa vue défaillante avait aiguisé ses sens déjà plus développés que chez les humains. Des pas, très légers, comme ceux d'un elfe, mais ce qui trahissait une présence était l'entrechoquement de quelques armes, minimes mais bien présentes.

Elle alla sur le côté par pure mégarde elle passa à côté d'un buisson dont une des branches s'accrocha à ses vêtements. Elle se dégagea simplement et avec beaucoup d'agilité pour une non-voyante. Habituée à son handicap depuis longtemps elle avait appris à voir les choses d'une autre manière, à travers les autres sens. Mais, toute l'agilité du monde n'allait pas effacer le bruit que produisit cette faute.

Elle effleura un tronc, en palpant un peu plus loin son écorce elle établit un ordre de grandeur et se hissa dans les basses branches au dessus du chemin.
Elle attendit, les pas se rapprochèrent mais toujours aussi léger qu'un coup de vent se fut plutôt l'arc et la carquois qui la mit au courant des mouvement du voyageur. Elle ^même tirait à l'arc, mais ce jour-là en prévision d'une petite promenade comme celle-ci elle s'était contentée d'une dague.

Elle attendit toujours, le voyageur avait marqué un temps d'arrêt un ^peu auparavent. Mais de nouveau l'étrange son qui accompagnait celui des armes, à savoir le corps en mouvement dans un autre corps différent, donc me corps du voyageur dans le corps de la forêt revenait au même que d'entendre une brise dans le feuillage. C'était fin et difficile à entendre.

Atiligan écouta avec attention les paroles de l'autre elfe et replia son arc vers lui. Il remis sa flèche dans son cartois et s'inclina devant l'elfe. Atiligan connaissait parfaitement les habitudes elfique malgré que son sang sois Humain. Presque aucun elfe n'avait eu de dédin pour lui et il le considérait comme un elfe a part entière oubliant sa nature humaine. Normal, aiyant vécu toute sa vie avec sa mère Elfique il prit des plis et devins comme eux.

Il se releva à la suite c'est mot:

Citation :

"Mais par contre, je ne te veux aucun mal, et peut-être est-ce ce que tu voulais savoir ?"

- En effet, cela me rassure. Plusieurs Orc Rodent c'est temps-ci. J'en est tué 1 il y deux jours. Et cela c'est avant de compter les 3 autres avant. Je suis Atiligan... je suis venu ici aider de Legolas... je viens chercher refugent en attendant ma mère.

Ses yeux brillaient dans la lumière du jour et son corps bien battit trahisait ses origines. Ses vêtement était rouge viin elfique avec quelques broderie... Le vent se leva fesant virvolter ses cheveux blond dans les airs.

- Pensez-vous pouvoir m'aider?

Elle se détendit lorsqu'il parla des orcs, ce voyageur savait parler aux elfes, et les intuitions qu'elle avait eu n'étaient pas sans fondement. Son visage resta neutre pendant un moment, au nom "Legolas" elle releva la tête, bien que ses yeux étaient masqués on pouvait nettement voir qu'elle réfléchissait et en même temps savait que ce n'était plus utile.

Elle hocha la tête.

"Bien, bien, le nom de Legolas est connu par ici, Nous verrons si vous dites vrai, bien que vos paroles m'inspirent confiance. Je m'étonne de savoir que des orcs s'approchent ainsi de Fondcombe... c'est assez inhabituel."

Elle resta un moment sur place puis se dirigea dans la direction du visiteur, et passa à côté de lui.

"Très bien, au mieux je vous aurais amené chez le Seigneur Elrond, ses orcs doivent trouver un destin et Il devra décider lequel je pense, mais il serait plus intelligent de d'abord attendre votre mère avant de vous présenter, pour ça je vous propose d'aller chez moi, ce n'est pas très loin."

Elle s'arrêta sur son avancé et se retourna :

"Est-ce que cela vous convient, Voyageur ?"

Bien qu'aveugle, chaque trait de son visage décrivait une totale certitude, comme si elle savait exactement où il se trouvait. En fait elle s'orientait par rapport à ce qui l'entourait.

Atiligan s'inclina aux paroles de l'elfe.

-Je serais Honorer d'attendre dans votre demeure la venue de ma Mère adoptive. Je crois que vous devez vous en douter, je ne suis pas Elfe. J'espère de tout coeur que cela ne vous dérange pas. Sinon, je serais navré. Je me Prénomme Atiligan.

Il se releva puis s'approcha vers l'autre elfe en sautant de racine en racine. Finalement, il arriva à quelques centimètres de sa nouvelle amie.

- Ma mère est rester à Lotholorien pour trouver refuge. Elle ma demander de faire pareille pour Fondcombre. Nous avons beaucoup voyager et somme fatigué.

Une douce brise vien caresser le visage des deux compagnons. Les feuilles bougeais au bruit du vent raportant de mauvaise nouvelle. Atiligan malgré ses 17 ans humain avait appris à penser, agir comme un elfe sentit imméditamement une odeur Acre.Il se tourna la tête rapidement recherchant du regard d'ou elle provenait.

- Vous sentez chuchota-t-il... quelques choses approche...

Il se retourna vivement sortant un arc et une flèche Bleu Argenté reflêtant la lumière. Magique elle était donné par un Être Magique. La bête approchait rapidement mais sans bruit.

[P.S:Atiligan est un humain de 17 ans qui a été élever à la façon elfique. Garçon de roi, Nurheniel décida d'élever le fils qu'elle lui avait enlever. Elle lui appris toute sa nature elfique. Elle lui révêla même pourquoi celui-ci n'était pas comme elle. Regard humain avait avec des cheveux resemblant à les elfes, il a appris toute les manières à avoir. Il pense comme eux et agit comme eux.]

[hrpg : c'est un détail qui m'a échappé, dés maintenant je vais lire ta présentation qui a l'air prometteuse ^^]
L'elfe releva la tête, ainsi il n'était pas vraiment un elfe ? Au fond elle n'apportait pas grand intérêt au sang, le seigneur Elrond n'était-il pas lui-même un elfe à part entière ? Et cela ne lui empêchait pourtant pas d'être considéré comme le plus sage de cette race, alors quoi ? Si cet homme avait été élevé par un elfe, connaissait les manière de sa race, et l'aimait comme si c'était la sienne, ou presque, que pouvait-elle lui repprocher.

"Vous sentez ... quelque chose approche"

Elle s'arrêta, se concentra... C'était furtif, mais c'était là. Elle l'entendit clairement, ce bruit dans la forêt était comme un coup de poignard dans la chair. Elle n'avait que ses dagues... elle les prit, chez elle, tout reposait sur sa rapidité, elle ne faisait pas confiance à la force et son potentiel dans cette matière n'était pas suffisant.
*Si près, cela ne peut être des orcs... et ceux-ci sont plus bruyant... alors quoi ?*
Elle eut alors un déclic.

"Des Wouargs !"

Ces loups sanguinaires pouvaient atteindre la folie une fois poussés par la faim. Et ce ne serait pas la première fois qu'il s'approche de Fondcombes. Elle fit tourner ses dagues dans ses mains, bon, avec des armes pareilles ce n'était pas gagné, mais ... elle dirigea son regard vers un arbre. Avec un cochon pendu et une bonne gymnastique....

Elle n'eut pas le temps de pofiner sa stratégie, un grande ombre surgit des arbres, elle entendit l'arce se tendre près d'elle, elle s'aplatit au sol, le Wouarg fit un bon en arrière, percé d'un flèche, dautres répondirent au signal, elle grimpa dans un arbre, se balança par dessus la branche et resta accrochée par les jambes au moment où l'un de ces loups passa au-dessous d'elle, elle lui planta une dague dans la nuque, il eut un sinistre craquement. Elle remonta sur sa branche, ombre dans les arbres, et recommença son manège avec un autre, elle lui trancha la gorge mais tomba, emporté par l'élan de l'animal.

Le troisième qui se présenta était immense, elle était à terre, et ne se sentait pas du tout en bonne position. Elle rangea ses armes, et attendit, au dernier moment elle pivota sur la côté, elle sentit le souffle rauque sur son bras, au moment où elle le passa autour du cou répugnant afin de montersur la bête.
*Les gobelins le font... je ne vois pas pourquoi je n'y arriverais pas !*
Elle s'accrocha aux poils gras, elle eut droit à plusieurs bond avant une roulade, elle s'étala sur le sol pour éviter de se fracasser le os sous la poid du loup. La masse corporelle et poisseuse de son ennemi se releva et bondit sur elle, elle sentit clairement l'haleine nauséabonde de la geule à quelques centimètre d'elle avant le claquement.

Elle aurait voulu pousser un cri, mais en réalité elle avait trop mal pour en trouver la force, chaque parcelle de son corps subissait un supplice, elle l'avait arqué et plongé sa main dans la geule béante pour enfoncer la dague dans le palais de son ennemi. Son corp dans une position qui lui permettait de repousser les force colossales de son adversaire faisait crier ses muscles, le Wouarg se débattit, ses épaule s'arquèrent un peu plus la dague s'enfonça encore avant qu'il ne tombe finalement. Elle resta allongée, essoufflée, et in capable de se relever, le claquement qu'elle avait entendu ne lui disait rien. Mais elle sentit le sang couler sur son bras. La mâchoir du Wouarg s'était refermée sur lui, voilà pourquoi elle avait eu l'impression que son avant-bras s'était enflammé.